Radio Cacique, a eu la première femme opératrice de radio en Haïti.
Nous avons toujours fait de la défense de la liberté d’expression notre cheval de bataille. En 1964, nous avons assiste au départ pour l’exil de deux de nos membres fondateurs: Roger San Millan et Anthony Phelps. Entre 1963 et 1969, les studios ont été transportes a l’étage de la maison d’Adesky a la rue Traversière. Durant cette période, Gérard Camfort, Eddy Zamor, Wilson M. Pierrelus, Jacques Sampeur, Rockefeller Jean- Baptiste ont intègre le staff. Certains se souviendront encore des émissions exclusivement dédiées a l’orchestre de Nemours Jean-Baptiste « cacique publicités » et « battant pavillon rouge et blanc » sans oublier les émissions de musiques haïtiennes animées par Jacques Sampeur et plus particulièrement, celles du samedi réservées au Tabou Combo. L’auditorium (radio théâtre) de Radio Cacique, a également vu défiler nombre d’artistes et d’ orchestres tels, ceux de Nemours Jean-Baptiste et de Webert Sicot, des mini jazz comme les Ambassadeurs, les Diplomates, les Vickings dont Jean-Claude Carrie ex- directeur de Radio Cacique et musicien consomme en était le parrain. De 1969 a1972, Radio Cacique vit ses studios transportes a la place Jérémie (bas peu de chose), au restaurant dansant « l’Oasis » (a cote du ciné Eldorado), propriété du bien connu, journaliste, ex dirigeant du groupe carnavalesque « LOBODIA », ex-maire de Port-au-Prince : André Juste qui, lui aussi, a pendant de nombreuses années fait partie de notre staff.
- Radio Cacique a été la première station de radio à émettre 24 heures sur 24 depuis Port-au-Prince.
Ceci, pour la simple raison que nos studios étaient loges à la place Jérémie, mais que le transmetteur était reste a la rue traversière. Des groupes musicaux de la zone du bas peu de choses entre autres le Shoupa shoupa, s’y sont produits plus d’une fois. En 1972, le transmetteur ainsi que les studios ont été une fois de plus déplaces et transportes au siège original à la rue Bellevue # 5 à Pacot. De 72 a 77, la station a du se passer de téléphone puisque la Teleco décida de ne pas honorer notre demande, un point c’est tout. A cette époque, l’équipe qui assumait les 16 heures d’antenne quotidienne sous la baguette de Jean-claude Carrie était compose de : Pierre Antoine Baptiste, Ernest Jean-Paul, Remy Lacroix, Margareth Dragon Chery, Yolette Lecorps, Carlo Joinville, Luco Pierre. Nicole Narcisse animatrice d’émission de chansonnettes françaises, Fritz Devesin (musiques haïtiennes) furent par la suite engages a la radio de la rue bellevue. Patrick Saint Martin (ex- maire des Cayes), Jean Claude Guerrier (John coco) de Radio Citadelle et de la Voix du Nord. C’est durant cette période que Jean Lucien Borges (propriétaire de radio/Tele Ginen) effectua son passage à Radio Cacique. Moi, Patrick De Landsheer, j’ai fait mes premières armes, au micro et a la console, alors que je servais de suppléant a Patrick Saint Martin durant les vacances d’été (75 et 76) qu’il alla religieusement les passer dans sa ville natale, les Cayes. En 1977, le téléphone 45-2339 fut installé et nous coupa de notre isolement. Le frère Gérard Duclervil (Volontaires catholiques), laïque engage, pendant son passage a la station a été emprisonne pour les opinions émises sur les ondes. Emprisonne et torture aux casernes Dessalines, il n’a été remis en liberté qu’à l’occasion de la visite du Pape Jean-Paul II en Haïti. C’est au cours de son programme matinal que pouvaient être entendu les sermons du Prêtre Arthur Volel (cite Simone) et également le père Jean Bertrand Aristide (croix des misions). L’équipe composée d’Evans Paul (K-Plim) [ex-maire de P-au-P /candidat a la Présidence (Alyans)], de Carlo Chery (decede) et de Fritz Deetjens fit son entrée dans l’arène. Ainsi, Konpe Plim commença par diffuser une émission intitulée le « Petit annonceur » a 2 :00 p.m. du lundi au vendredi et un programme hebdomadaire Konbit Pitit Kay (du nom de sa troupe théâtrale) le samedi a la même heure. Rapidement, l’auditoire opta pour que l’émission du samedi, Konbit pitit kay, substitua celle diffusée durant la semaine. Vox populi vox Dei. Ce programme phare avait pour thème la chanson interprétée par Martha Jean-Claude : « le ma mounte chwal mwen gen moun ka kriye » chanson intitutlee « sou lan me ». Il s’adjoint plus tard Rodrigue Montfleuri [défunt] (acteur de KPK qui s’est affirme dans Dekore pawol et Debafre). Evans, lui aussi, des 78 a plus d’une fois été mis en tôle, passe a tabac et torture pour avoir émis ses opinions sur nos antennes. Il faut également mentionner le passage de Dorival Pierre François à la station. En 1978, Thony Louis Charles, artiste peintre restaurateur, journaliste et écrivain nous rejoint et anima particulièrement un programme de musiques haïtiennes. Il infusa un cachet rétro à notre programmation quotidienne. Il nous retrouva encore une fois, quelques années plus tard, cette fois-ci pour participer à la diffusion du journal français VAP sur l'actualite et de Prisme (revue sonore hebdomadaire). Thony, fut remplace par Robert Moulite, transfuge de la radiodiffusion cayenne, qui, s’exila a New York, après la rafle du 28 Novembre 1980 ou 3 membres de notre staff Jacques Guirand, Edwin Beaubrun et Fritz Devesin furent passes a tabac, ligotes et emmenés aux casernes Dessalines après destruction de nos studios de la rue Bellevue. Carlo ainsi que Margareth Dragon Chery durent également partir précipitamment pour Miami. Dans cette ville de la Floride, Express Publicités, « la doyenne » ainsi que Radio Collective Internationale, de notre ami Carmeleau Monestimes, ont hébergé divers transfuges de Radio Cacique dont Margareth Dragon Chery, Robert Moulite, Rochemane, Jean-Claude Guerrier, Roger Valcy, Herby Joseph, James Auguste et Patrick De Landsheer. En Novembre 1980, après une période d’éclipse de 15 jours pour réparation nous avions repris inlassablement le collier. Comme station indépendante, nous sommes restes longtemps seuls dans l’arène, après la disparition de Radio Haïti Inter des ondes (11/80) et l’auto censure exerce par Radio Métropole (11/80-2/86). Languichatte Debordus, Gérard Resil, « Alcibiade », Joinville, Papa Pye, Joe Solon, Serge Merelus (Bibil) ont tous eu des émissions à la station. Nous devons ici, rendre un hommage posthume a « Père Mepri » de son vrais nom André Tresilus, gardien de la station qui alla d’opérateur remplaçant a électricien, un analphabète /bègue doue d’une extrême intelligence et qui, bien des fois, nous a sortis de situations difficiles et porta bien souvent sur ses épaules la lourde charge de tenir la station en ondes. Sa fille, Sabine (*** sœur) également decedee seconda fort souvent les efforts de son père. Ce cas se repetait très souvent avec des émissions phares diffusées très tôt ou très tard. Cela était le cas avec : « musiques au petit réveil » anime par Siffroit Chery plus connu sous le nom de « Keessi sur Cacique » du nom d’une émission de variétés qu’il animait auparavant et de « Ballade commerciale » de Jean Wilfrid Destin dit Ti Will de regrette mémoire (martyr assassine sous Avril). En fait, l’histoire de Keessi et de Radio Cacique remonte aux années 78 ou il participait aux émissions de Frère Gérard. Il rebaptisa l’émission Parade des Variétés en Keesi sur Cacique ou il se dévoila à l’auditoire. Il y a certains opérateurs emérites que nous ne saurions oublier par exemple : Patrick, Romel Dufort ainsi que son frère Kerby, sans oublier l’infatigable Merisier. A la fin du régime d’Avril, certains de nos collaborateurs s’exilèrent aux USA parmi lesquels : Dorcelly Saens, journaliste],actuellement policier a Miami et Marie Yolene Gilles (journalistes/ Rnddh). Fito Deetjens avait rallie les fans du Reggae tandis que Constantin Chery se faisait plaisir ainsi qu’a son auditoire en diffusant des hits du fameux zouk antillais, ce qui leur valu respectivement les surnoms de « Fito regae » et de « Kontino zouk ». Ceux qui ont bonne mémoire se rappelleront des programmes diffuses en direct. Par`exemple, les prestations du Gemini All Stars depuis le Marquis ou le Ansyto Fan Club ou ce groupe musical très prise évoluait régulièrement ainsi que celui d’Almando Keslin. Serait-il superflu de signaler que Radio Cacique a été la seule station de Port-au-Prince a avoir répondu aux cris de « ti Manno » depuis son lit d’hôpital (interview diffuse par Moments Créoles sur la WLIB a New York). Un marathon en faveur de Emmanuel Rossini Jean Baptiste dit Ti manno du Gemini All Stars fut immédiatement organise. Le produit de cette collecte de fonds, (cheque de direction émis par la BRH) a été intégralement remis a M. Fritz Martial de « Moments Créoles ») programme de radio bien connu diffuse sur la WLIB de New York City (ce 13 Mai 2006, a ramene le vingt-et-unième anniversaire de sa mort)
RADIO CACIQUE L'AME DE TOUTE UNE GENERATION
Nous avons toujours fait de la défense de la liberté d’expression notre cheval de bataille. En 1964, nous avons assiste au départ pour l’exil de deux de nos membres fondateurs: Roger San Millan et Anthony Phelps. Entre 1963 et 1969, les studios ont été transportes a l’étage de la maison d’Adesky a la rue Traversière. Durant cette période, Gérard Camfort, Eddy Zamor, Wilson M. Pierrelus, Jacques Sampeur, Rockefeller Jean- Baptiste ont intègre le staff. Certains se souviendront encore des émissions exclusivement dédiées a l’orchestre de Nemours Jean-Baptiste « cacique publicités » et « battant pavillon rouge et blanc » sans oublier les émissions de musiques haïtiennes animées par Jacques Sampeur et plus particulièrement, celles du samedi réservées au Tabou Combo. L’auditorium (radio théâtre) de Radio Cacique, a également vu défiler nombre d’artistes et d’ orchestres tels, ceux de Nemours Jean-Baptiste et de Webert Sicot, des mini jazz comme les Ambassadeurs, les Diplomates, les Vickings dont Jean-Claude Carrie ex- directeur de Radio Cacique et musicien consomme en était le parrain. De 1969 a1972, Radio Cacique vit ses studios transportes a la place Jérémie (bas peu de chose), au restaurant dansant « l’Oasis » (a cote du ciné Eldorado), propriété du bien connu, journaliste, ex dirigeant du groupe carnavalesque « LOBODIA », ex-maire de Port-au-Prince : André Juste qui, lui aussi, a pendant de nombreuses années fait partie de notre staff.
- Radio Cacique a été la première station de radio à émettre 24 heures sur 24 depuis Port-au-Prince.
Ceci, pour la simple raison que nos studios étaient loges à la place Jérémie, mais que le transmetteur était reste a la rue traversière. Des groupes musicaux de la zone du bas peu de choses entre autres le Shoupa shoupa, s’y sont produits plus d’une fois. En 1972, le transmetteur ainsi que les studios ont été une fois de plus déplaces et transportes au siège original à la rue Bellevue # 5 à Pacot. De 72 a 77, la station a du se passer de téléphone puisque la Teleco décida de ne pas honorer notre demande, un point c’est tout. A cette époque, l’équipe qui assumait les 16 heures d’antenne quotidienne sous la baguette de Jean-claude Carrie était compose de : Pierre Antoine Baptiste, Ernest Jean-Paul, Remy Lacroix, Margareth Dragon Chery, Yolette Lecorps, Carlo Joinville, Luco Pierre. Nicole Narcisse animatrice d’émission de chansonnettes françaises, Fritz Devesin (musiques haïtiennes) furent par la suite engages a la radio de la rue bellevue. Patrick Saint Martin (ex- maire des Cayes), Jean Claude Guerrier (John coco) de Radio Citadelle et de la Voix du Nord. C’est durant cette période que Jean Lucien Borges (propriétaire de radio/Tele Ginen) effectua son passage à Radio Cacique. Moi, Patrick De Landsheer, j’ai fait mes premières armes, au micro et a la console, alors que je servais de suppléant a Patrick Saint Martin durant les vacances d’été (75 et 76) qu’il alla religieusement les passer dans sa ville natale, les Cayes. En 1977, le téléphone 45-2339 fut installé et nous coupa de notre isolement. Le frère Gérard Duclervil (Volontaires catholiques), laïque engage, pendant son passage a la station a été emprisonne pour les opinions émises sur les ondes. Emprisonne et torture aux casernes Dessalines, il n’a été remis en liberté qu’à l’occasion de la visite du Pape Jean-Paul II en Haïti. C’est au cours de son programme matinal que pouvaient être entendu les sermons du Prêtre Arthur Volel (cite Simone) et également le père Jean Bertrand Aristide (croix des misions). L’équipe composée d’Evans Paul (K-Plim) [ex-maire de P-au-P /candidat a la Présidence (Alyans)], de Carlo Chery (decede) et de Fritz Deetjens fit son entrée dans l’arène. Ainsi, Konpe Plim commença par diffuser une émission intitulée le « Petit annonceur » a 2 :00 p.m. du lundi au vendredi et un programme hebdomadaire Konbit Pitit Kay (du nom de sa troupe théâtrale) le samedi a la même heure. Rapidement, l’auditoire opta pour que l’émission du samedi, Konbit pitit kay, substitua celle diffusée durant la semaine. Vox populi vox Dei. Ce programme phare avait pour thème la chanson interprétée par Martha Jean-Claude : « le ma mounte chwal mwen gen moun ka kriye » chanson intitutlee « sou lan me ». Il s’adjoint plus tard Rodrigue Montfleuri [défunt] (acteur de KPK qui s’est affirme dans Dekore pawol et Debafre). Evans, lui aussi, des 78 a plus d’une fois été mis en tôle, passe a tabac et torture pour avoir émis ses opinions sur nos antennes. Il faut également mentionner le passage de Dorival Pierre François à la station. En 1978, Thony Louis Charles, artiste peintre restaurateur, journaliste et écrivain nous rejoint et anima particulièrement un programme de musiques haïtiennes. Il infusa un cachet rétro à notre programmation quotidienne. Il nous retrouva encore une fois, quelques années plus tard, cette fois-ci pour participer à la diffusion du journal français VAP sur l'actualite et de Prisme (revue sonore hebdomadaire). Thony, fut remplace par Robert Moulite, transfuge de la radiodiffusion cayenne, qui, s’exila a New York, après la rafle du 28 Novembre 1980 ou 3 membres de notre staff Jacques Guirand, Edwin Beaubrun et Fritz Devesin furent passes a tabac, ligotes et emmenés aux casernes Dessalines après destruction de nos studios de la rue Bellevue. Carlo ainsi que Margareth Dragon Chery durent également partir précipitamment pour Miami. Dans cette ville de la Floride, Express Publicités, « la doyenne » ainsi que Radio Collective Internationale, de notre ami Carmeleau Monestimes, ont hébergé divers transfuges de Radio Cacique dont Margareth Dragon Chery, Robert Moulite, Rochemane, Jean-Claude Guerrier, Roger Valcy, Herby Joseph, James Auguste et Patrick De Landsheer. En Novembre 1980, après une période d’éclipse de 15 jours pour réparation nous avions repris inlassablement le collier. Comme station indépendante, nous sommes restes longtemps seuls dans l’arène, après la disparition de Radio Haïti Inter des ondes (11/80) et l’auto censure exerce par Radio Métropole (11/80-2/86). Languichatte Debordus, Gérard Resil, « Alcibiade », Joinville, Papa Pye, Joe Solon, Serge Merelus (Bibil) ont tous eu des émissions à la station. Nous devons ici, rendre un hommage posthume a « Père Mepri » de son vrais nom André Tresilus, gardien de la station qui alla d’opérateur remplaçant a électricien, un analphabète /bègue doue d’une extrême intelligence et qui, bien des fois, nous a sortis de situations difficiles et porta bien souvent sur ses épaules la lourde charge de tenir la station en ondes. Sa fille, Sabine (*** sœur) également decedee seconda fort souvent les efforts de son père. Ce cas se repetait très souvent avec des émissions phares diffusées très tôt ou très tard. Cela était le cas avec : « musiques au petit réveil » anime par Siffroit Chery plus connu sous le nom de « Keessi sur Cacique » du nom d’une émission de variétés qu’il animait auparavant et de « Ballade commerciale » de Jean Wilfrid Destin dit Ti Will de regrette mémoire (martyr assassine sous Avril). En fait, l’histoire de Keessi et de Radio Cacique remonte aux années 78 ou il participait aux émissions de Frère Gérard. Il rebaptisa l’émission Parade des Variétés en Keesi sur Cacique ou il se dévoila à l’auditoire. Il y a certains opérateurs emérites que nous ne saurions oublier par exemple : Patrick, Romel Dufort ainsi que son frère Kerby, sans oublier l’infatigable Merisier. A la fin du régime d’Avril, certains de nos collaborateurs s’exilèrent aux USA parmi lesquels : Dorcelly Saens, journaliste],actuellement policier a Miami et Marie Yolene Gilles (journalistes/ Rnddh). Fito Deetjens avait rallie les fans du Reggae tandis que Constantin Chery se faisait plaisir ainsi qu’a son auditoire en diffusant des hits du fameux zouk antillais, ce qui leur valu respectivement les surnoms de « Fito regae » et de « Kontino zouk ». Ceux qui ont bonne mémoire se rappelleront des programmes diffuses en direct. Par`exemple, les prestations du Gemini All Stars depuis le Marquis ou le Ansyto Fan Club ou ce groupe musical très prise évoluait régulièrement ainsi que celui d’Almando Keslin. Serait-il superflu de signaler que Radio Cacique a été la seule station de Port-au-Prince a avoir répondu aux cris de « ti Manno » depuis son lit d’hôpital (interview diffuse par Moments Créoles sur la WLIB a New York). Un marathon en faveur de Emmanuel Rossini Jean Baptiste dit Ti manno du Gemini All Stars fut immédiatement organise. Le produit de cette collecte de fonds, (cheque de direction émis par la BRH) a été intégralement remis a M. Fritz Martial de « Moments Créoles ») programme de radio bien connu diffuse sur la WLIB de New York City (ce 13 Mai 2006, a ramene le vingt-et-unième anniversaire de sa mort)
RADIO CACIQUE L'AME DE TOUTE UNE GENERATION